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Cinquante, c’est le nombre de dispositifs concurrents entre eux sur chaque bassin d’emplois en matière d’entrepreneuriat (dont numérique), en moyenne sur le territoire français. Consulaires, associatifs, publics, privés, concentrés principalement sur les premières étapes de la création, et en particulier en matière de sensibilisation à l’entrepreneuriat.
Face au sur équipement des territoires en termes de dispositifs, pour le moment, la startup nation ne souffre pas de rapports d’audits de la Cour des Comptes. Toutefois, les Pépites, par exemple, commencent à être regardés de près…
Les régions concentrent leurs moyens progressivement en quête d’efficience notamment en accompagnant des projets d’upscaling ayant déjà levé des fonds tout en tentant de concilier politique d’aménagement du territoire, création de valeur et d’emplois : la chèvre et le chou…
Face à ce constat, il convient d’être sélectif, efficient, lisible, visible et innovant, de valoriser la recherche académique et… d’améliorer les processus de transfert de technologies vers les entreprises.
La clefs réside certainement vers un équilibrage du couple entrepreneuriat / intrapreneuriat.
Le second étant utile tant en image employeur qu'en véhicule d'innovation et d'accompagnement du changement en interne !
En effet, en ce domaine, comme dans bien d’autres, il s’agit d’aller là où les autres ne vont pas. De savoir fabriquer des compétences réelles en entrepreneuriat et en intrapreneuriat ne peut donc se contenter d’un simple slogan des années 80 ‘ learning by doing ‘. En effet, l’entrepreneur est désormais partout ! Voir des possibilités et des solutions là où les autres voient des problèmes, et saisir ensuite les opportunités, est aujourd’hui une nécessité absolue, comme ici.
Toujours au service du business et des talents !